Une vieille lettre à l'encre affadie
Jour 3 : Toujours aucune trace du capitaine et de l'équipage. J'ai fabriqué quelques outils pour me construire un abri de fortune. Je me considère chanceux d'être seul sur cette île. Libéré de cette folle sur son bateau maudit. Je n'honorerai jamais mon contrat, mais peu importe. L'île a tant à offrir.
Elle ne manque ni de nourriture ni d'eau : il y a du gibier à foison, et j'ai trouvé une source potable. Cette source me redonne le moral, je me sens en meilleure santé et plus fort que jamais.
A. Damas