Les mots d'un fermier
Je crois que cet orage n'était que le début de la fin de notre vie ici. Les vents que soufflait ce monstre étaient... vicieux. Des coquilles vides qui conservent un semblant de forme humaine, mais ne sont que ravage et destruction. Ces attaques ont causé des pertes au sein des familles restantes, et nous autres survivants devons maintenant fuir la région. Nous n'avons d'autre choix que de partir.
– F. Sneed
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