Stanley

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Part of the following chapter Lapins et littérature #4
Découvert sur l'Île aux Lapins

Je n'ai pas de préféré, mais si j'en avais un, alors ce serait Stanley. Il est le joyau de ma ménagerie lapinesque. Je l'ai sauvé au nord, là où les altérés les chassent pour en dévorer la chair. Il a la fourrure la plus douce qu'il m'ait été donné de toucher. Le soir, quand ma toux m'empêche de dormir, je le tiens contre moi et je sais qu'il comprend mon supplice. Il reste toujours à mes côtés et je ne pourrais pas imaginer plus fidèle compagnon.